Isagri transforme la QVCT en moteur d’attractivité et d’engagement
Dans un marché de l’emploi tendu, Isagri, spécialiste des solutions numériques pour le monde agricole, fait de la qualité de vie et des conditions de travail un levier stratégique d’attractivité. Bien plus qu’un simple label, la certification Great Place to Work sert de boussole RH à l’entreprise, guidant des actions concrètes — télétravail souple, services de proximité, événements conviviaux — qui séduisent les candidats. Prochaine étape : cultiver la fierté et faire de chaque collaborateur un ambassadeur engagé.
Dans un contexte de tension sur les recrutements, Isagri affiche une singularité qui attire de plus en plus de candidats. Son label Great Place to Work agit comme un puissant aimant, en particulier auprès des jeunes diplômés et alternants. Mais pour le spécialiste des logiciels et solutions numériques pour le monde agricole, aujourd’hui implantée à l’international avec 3 500 collaborateurs, ce n’est pas une simple distinction. C’est un outil de pilotage RH à part entière.
« Great Place to Work, c’est notre base de travail. Chaque année, nous interrogeons tous nos collaborateurs via une enquête anonyme, qui nous permet de prioriser les sujets RH à traiter. Cela nous oblige à rester en mouvement, à ajuster notre culture d’entreprise en fonction des besoins réels du terrain » explique Jérôme Marlot, responsable du développement RH et de la QVCT (qualité de vie et des conditions de travail) chez Isagri.
Cette enquête annuelle, qui recueille les perceptions sur des sujets tels que la crédibilité managériale, la convivialité, l’équité ou encore la fierté d’appartenance, offre à l’équipe RH une cartographie précise des ressentis. À partir des résultats de ce véritable baromètre social, des plans d’action sont élaborés avec les différents métiers, en lien avec les managers de proximité.
QVCT : du concret, du quotidien, et du sur-mesure
Chez Isagri, la QVCT s’exprime dans des actions concrètes et visibles. Le télétravail a été adapté : là où il était limité à un jour par semaine après un an d’ancienneté, il est désormais possible dès la fin de la période d’essai, avec deux jours par semaine et trois jours « flexibles » par an. Cette évolution est directement issue des retours des équipes.
Côté vie quotidienne, l’entreprise a aussi su répondre à des attentes très pratiques : salle de sport ouverte en continu, service de repassage, service garage… Un éventail de services qui allège la charge mentale tout en renforçant le sentiment d’appartenance.
Mais ces services jouent aussi un rôle stratégique en matière d’attractivité : ils permettent à Isagri d’attirer des profils plus urbains, parfois réticents à l’idée de quitter une métropole pour rejoindre une entreprise située à dans l’Oise. Offrir un cadre de travail complet et des solutions concrètes pour le quotidien permet de lever certains freins liés à la localisation. « Ces services font la différence pour des candidats qui viennent de Paris ou de Lille. Ils voient qu’ici, ils ne perdront pas en qualité de vie — au contraire » note le responsable.

Créer du lien, cultiver la convivialité
La QVCT chez Isagri, c’est aussi un art de vivre collectif. L’entreprise organise chaque année une dizaine d’événements festifs et sportifs : tournois de foot, pétanque ou tennis de table, escapes game pour Halloween, concours de jeux vidéos… Ces moments renforcent les liens informels et permettent aux collaborateurs de se redécouvrir hors cadre professionnel.
« On expérimente, on teste, on ajuste. Si une animation ne prend pas, tant pis, on passe à autre chose. Le plus important, c’est de rester à l’écoute des envies » résume Jérôme Marlot.
La semaine de la QVCT, devenue un rendez-vous incontournable, est dotée d’un budget dédié. Cette année, le thème « Un instant pour soi » a proposé des ateliers de réflexologie plantaire, massage crânien, de relaxation… autant de bulles de respiration appréciées par les collaborateurs.

Prochaine étape : faire rayonner la fierté
Si les initiatives QVCT sont nombreuses, Isagri ne compte pas s’arrêter là. L’enjeu de l’année à venir s’articule autour d’une valeur clef : la fierté. Pas une fierté abstraite, mais une fierté ancrée dans le quotidien, dans les missions réalisées, dans l’impact ressenti.
Les ateliers découverte, qui permettaient jusqu’alors aux salariés de partager leurs passions (astronomie, couture, compostage…), évoluent aujourd’hui vers des temps d’échange autour des métiers. L’entreprise entend ainsi valoriser l’expertise interne et renforcer la reconnaissance entre pairs. Un comité d’apprentissage est en cours de structuration pour formaliser cette dynamique de transmission.
L’objectif ? Que chaque collaborateur devienne le meilleur ambassadeur d’Isagri : dans son entourage, sur les réseaux sociaux, dans les écoles ou lors des forums métiers. Une dynamique déjà à l’œuvre : « Certains salariés nous ont déjà fait part de l’intérêt pour cet exercice. Il y a une vraie attente, et un vrai plaisir à partager ce que l’on vit ici » conclut Jérôme Marlot.
Crédit : Isagri
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